Noter que le pasteur clandestin se réfère à la structure administrative catholique, seule autorisée ; que par le mot « légitime » il revendique pour ces protestants une identité civile qui leur est alors déniée ; que les registres en question peuvent être les « registres du désert » qu'il n'aurait pas eus en main, ou encore les registres officiels que l'on n'obtiendra qu'en 1787.

Photocopie du document. L'original de ce document est présenté à la Maison du Protestantisme Poitevin, aux temples de La Couarde et Beaussais.