Rente la maison à la haute ville près le porche : Reconnaissance d'une rente de 6 l. due à l'hôpital par suite du testament de Louise Maillet, du 24 février 1734, à savoir de 3 l. sur une maison en la haute ville près de la porte allant de la haute à la basse ville et une autre rente de 3 l. sur une maison en la basse ville près de Saint-Jacques (4 février 1666) ; - Titre d'une rente seconde de 6 l. due à Louise Maillet sur une maison et jardin près la porte par où l'on descend de la haute ville à la basse ville de Lusignan (29 octobre 1722) (2 pièces papier) (1666-1722). Rente sur la famille Marat : Arrentement par Jacques Douhet, laboureur, et Madeleine Bordon, sa femme, à Jean Barat, laboureur, et à Marie Bruneteau, sa femme, des 5/6 d'une maison et de ses dépendances de terres et bois au village de Loeullault moyennant 10 l. de rente (26 février 1676) ; - Cession de cette rente par ledit Douhet et sa femme à Étienne Marat, notaire royal à Lusignan (31 octobre 1676) ; - Cession de cette rente par Madeleine Bert veuve d'Étienne Marat (29 septembre 1680) ; Paiement du capital de cette rente par ladite Bert à Pierre Lesveillé, laboureur et Madeleine Douhet sa femme (26 janvier 1688) ; Abandon en échange d'une rente viagère de 120 l. fait à l'hôpital de Lusignan par Marie Éléonore Marat, fille majeure, d'une somme de 2000 l. d'une rente de 50 l. et en nature, qui avaient été constituée au profit de Catherine Gourjault veuve de Pierre Brun, écuyer, seigneur d'Aubanie, d'une rente de 10 l. due par les héritiers de René Barrot et d'une rente de 20 l. due par Philippe Reberat sur la maison (13 janvier 1713) (1 pièce parchemin, 8 pièces papier) (1676-1716). Rente à Nillé (paroisse de Saint-Sauvant) : Arrentement par Jean Thomas, marchand, et François Dudon, laboureur à François Bert, seigneur des Ardilliers, moyennant la rente de 20 l. d'une maison et de pièces de terre au village de Nillé (9 décembre 1684) ; - Transport de cette rente à Mathurin Venault conseiller du roi à la Palice (22 février 1723) ; - Donation de cette rente faite à l'hôpital par Pierre Albert Venault avocat et procureur du roi à Lusignan, Louis Venault de Pouffons, Joseph Venault prêtre et Pierre Mathurin Venault, seigneur de la Percheterie, juge au siège royal de Lusignan, à la charge d'un service annuel le jour de Saint-Mathurin, jour du décès de Mathurin Venault leur père (5 août 1729) ; Transaction passée entre Jean Venault, curé de payré et Louis François Alexandre, marquis de Castellane, au sujet d'une rente de 52 l. due au curé de Payré sur la seigneurie de Guron et qu'il a été condamné à payer par sentence du siège royal de Lusignan et dont appel était au Parlement (19 mars 1742) (9 pièces papier) (1684-1742). Rente sur la petite Lande : Vente par Jean-Baptiste Brunet, prieur de la chapelle de Saint-Jean Baptiste de Marçay, à Françoise Blouin, femme de François Chauvin, seigneur de Chour, comme héritier en partie de Françoise Brunet sa sœur, à savoir 1/5 de la portion dans la métairie de Briou (Avon), celle de la petite Lande (Rouillé), du bois de Saint-Martin (Rouillé) d'une rente sur une maison paroisse de Pranzay à Lusignan et d'une rente sur le village de la Patière (Pranzay) (24 février 1702) ; - Vente par ladite Françoise Blouin à Marie Courtin, veuve de Jacques Loubault, seigneur de la Barauderie, lieutenant en la maîtrise des eaux et forêts de Poitiers, au nom de Marie Anne Loubault, fille et héritière de Marie Brunet, sa mère, et de Françoise Brunet, sa tante, de la portion de la métairie de Briou et de la rente de la petite Lande moyennant 400 l., pour le paiement de laquelle celui-ci lui abandonne 4 portions de rente lui appartenant conjointement avec elle sur les autres biens acquis par ladite Blouin de Jean-Baptiste Brunet (2 mars 1702) ; - Vente par Louis Pierre Huart, seigneur des Touches et autres héritiers de Marie Gaudin, femme de Jacques Gaudin, avocat à Lusignan, à François Bert seigneur de la Lande, de la petite métairie de la Grande Lande à Enjambes, moyennant 3500 l. à charge de payer à la dame Maillet, héritière de Jollet, curé de Pranzay, et après son décès à l'hôpital de Saint-Louis de Lusignan une rente de 110 l., et 1250 l. à François Guesbin procureur au siège royal de Lusignan (3 septembre 1713) (4 pièces papier) (1685-1713). Rente sur le moulin neuf : Titres nouveaux d'une rente de 7 boisseaux de seigle sur le moulin neuf par Marie Mathais veuve de Philippe de Limon, écuyer, seigneur de la Barre ; de Jazeneuil, et Jean Lauvergnat seigneur de la Grange (16 juin 1695) ; - Vente par Gabriel Berthonneau, chanoine de Saint-Pierre le Puellier de Poitiers, à Jean Lauvergnat, seigneur de la Grange, de la rente foncière seconde de 6 boisseaux de seigle, mesure de Lusignan, faisant moitié de celle de 12 boisseaux due sur le moulin neuf sur la Vonne, paroisse de Jazeneuil, le restant dû à Brunet, banquier à Poitiers (11 septembre 1692) ; Vente au même Jean Lauvergnat par Françoise Blouin, femme de François Chauvin, écuyer, seigneur de Chour, d'un boisseau de seigle de rente sur les biens appartenant au moulin neuf à l'occasion du procès qu'il avait contre Jean Brunet, prieur de Meslaraud dont il avait saisi les domaines (9 août 1694) ; - Vente d'un boisseau de seigle et les 2/5 d'un autre boisseau par Françoise Blouin, veuve de François Chauvin, écuyer, seigneur de Chour, au même Lauvergnat, sur le même moulin (27 mars 1702) ; - et par Philippe et Marie de Limon, leurs enfants et autres frères et sœurs (25 janvier 1703) Procès au sujet des arrérages (1704) (6 pièces papier) (1692-1704). Rente sur une maison à Lusignan : Extrait du testament de René Guesbin, lieutenant général de police et subdélégué à l'intendant à Lusignan, par lequel il lègue à l'hôpital de Lusignan et, à son défaut, à celui de Poitiers, une rente de 10 l. et une de 8 l. sur deux maisons à Lusignan et un jardin dans le faubourg d'Enjambes affermé 16 l. (28 janvier 1730) ; - Entérinement de ce testament et de celui de Françoise Saydor, sa femme (19 novembre 1733) ; - Testament d'Anne Venault, demeurant à Poitiers, paroisse de Saint-Porchaire, par lequel elle donne aux capucins de Poitiers 200 l. pour être inhumée dans leur église, et ordonne qu'il n'y ait à son service à la paroisse que le curé et deux prêtres ; elle veut que son corps soit porté par 6 pauvres filles à qui on donne 25 sous ; que les cierges soient de cire blanche et d'un demi quarteron, sauf celui de l'offrande qui sera de demie livre ; elle donne 300 l. aux pères capucins de Poitiers pour dire 600 messes, plus une rente de 10 l. due sur une maison de la ville de Lusignan aux Hospitalières de cette ville pour acheter de l'huile pour la lampe de la chapelle, plus aux pauvres de l'hôpital une rente « en bleds » sur le tènement des Rochelots à Bellefontaine (9 novembre 1734) ; - Acceptation de ce testament par les héritiers (7 novembre 1734) ; - Arrentement de la maison de Lusignan par ledit Venault à Gabriel Barot, boucher, tenant à la ruelle allant de la haute ville à Puybergier et à la maison du Dauphin (15 octobre 1698) ; - Procès de l'hôpital avec les teneurs de la maison pour le paiement de cette rente (1764-1779) ; - Prise de possession par huissier par les administrateurs de l'hôpital d'une maison sise en la basse ville tenant à la Motte, allant de la haute ville à Puybergier pour non paiement de 4 ans d'arrérages de la rente de 10 l. due sur cette maison (1 pièce parchemin, 8 pièces papier) (1698-1779). Rentes diverses : Constitution, par l'hôpital de Lusignan, d'une rente viagère de 500 l. au profit de Pierre Gilbon, prêtre, docteur en théologie, curé de Notre Dame de Lusignan qui lui abandonne 9 rentes constituées (7 avril 1710) ; - Promesse de Berloquin et Jeanne Pin de la somme de 420 l. au profit dudit Gilbon (24 mai 1700) ; - Sentence consulaire contre ladite Jeanne Pin veuve Berloquin, de la somme de 255 l. restant à payer de la somme de 420 l. (10 février 1705) (1 pièce parchemin, 2 pièces papier) (1700-1710). Rente sur la famille Guesbin : Sommation adressée à 2 administrateurs de l'hôpital par René Guesbin, ancien maire, lieutenant général de police et subdélégué de l'intendant, de convoquer extraordinairement pour ce jour tous les administrateurs pour recevoir le remboursement que veut faire Pierre Gilbon, doyen de l'université de Poitiers d'une somme de 2300 l. principal d'une rente de 115 l. consenti par ledit Guesbin et la dame Saydor sa femme le 25 mars 1710 audit Gilbon, et que celui-ci a délaissée aux pauvres de l'hôpital les 5 billets de banque (1 mai 1720) ; Titres d'une rente de 14 l. léguée à l'hôpital par René Guesbin, ancien maire et lieutenant de police à Lusignan, assise sur une maison sise en ladite ville près de la halle sur la rue allant à la porte de la ville que ledit Guesbin avait arrentée le 20 juin 1723 à Pierre Delavault, sergier (1 pièce parchemin, 8 pièces papier) (1704-1725). Rente due par la famille Nivard : Extrait du contrat de mariage de François Nivard procureur du roi à Lusignan et de Françoise Perochon du 24 juillet 1704 portant que Marguerite Chauveau, mère dudit Nivard, pourra disposer en faveur de l'hôpital d'une rente de 5 l. 10 s. sur le logis de Pierre Thibaudeau pour faire dire 6 messes par an pour l'âme de son mari, et la cession suivie du délaissement de cette rente à l'hôpital (10 décembre 1704) (1 pièce papier). Rente due sur une maison de la haute ville : Arrentement par Marie-Éléonore Marat à Philipe Reberat, marchand, de 2 maisons sises en la haute ville, proche des halles, tenant aux Trois Marchands, moyennant 20 l. de rente (4 août 1706) (2 pièces papier) (1706-1766). Rente sur la communauté des Élus : Constitution sur leur communauté par le tribunal des Élus de Poitiers en faveur de l'Hôtel-Dieu de Lusignan d'une rente de 50 l. (15 mai 1710) (1 pièce parchemin). Rente sur Marie Liège : Délaissement par Marie Liège, veuve de Pierre Veuzé, marchand, à Madeleine Veuzé, novice chez les Hospitalières de Lusignan, d'une rente de 7 l. due sur un pré situé sur les Chastelliers près Lusignan (août 1714) (1 pièce papier). Rente à la Font-de-Cé : Arrentement par les administrateurs de l'hôpital à Marie Groussin d'un petit emplacement sis entre la maison du Cygne et l'entrée de l'hôpital de la Font-de-Cé où les passants se retirent, moyennant 5 l. de rente annuelle (2 avril 1721) (1 pièce papier). Rente sur la maison Vergnault : Testament de Louise Brissault, couturière, pensionnaire à l'Hôtel-Dieu de Lusignan ; don de sa portion dans une somme de 600 l. que son oncle Jean Brissault lui doit à elle et à ses sœurs, en outre une rente de 15 l. due par Jean Vergnault, cohéritier sur la maison où il habite, et ses meubles (21 mars 1724) ; - Acte d'enregistrement dudit testament (1725) (2 pièces papier) (1724-1725). Rente sur M. du Chilleau : Paiement à l'hôpital par François-Joseph de Lauzon, chevalier, seigneur de la Poupardière et chevalier de Saint-Louis, d'une somme de 2000 l. par amortissement d'une rente de 100 l. constituée au profit des Hospitalières le 5 février 1743, et par François Anne de Lauzon de la Poupardière, chanoine de Saint-Hilaire le Grand de Poitiers son frère, de 1000 l. par le rachat d'une rente constituée de 50 l., et qui est prêtée au marquis du Chilleau qui constitue une rente de 100 l. pour les pauvres et une rente de 50 l. pour l'hôpital (1 pièce parchemin, 1 pièce papier) (1726-1756). Rente sur Jollet curé de Pranzay : Constitution de Maillet et Babinet avocats à Poitiers sur le point de savoir s'il est dû au seigneur de Mauprié les droits d'indemnité à raison des legs faits à l'Hôtel-Dieu d'une maison à Pranzay par Jollet, curé de Pranzay, par son testament du 10 février 1704 et en conséquence de l'arrentement de la même maison fait à Riot curé de Pranzay, et depuis à son frère curé du même lieu (1734) (4 pièces papier). Rente sur une maison à Poitiers : Déclaration roturière rendue aux chanoines de Saint-Hilaire le Grand par Charles Delaroche, chamoiseur à Vivonne, pour un logis sis rue de la Tranchée, paroisse de Saint-Pierre l'Hospitalier, tenu d'eux à 2 d. de cens et une rente de 30 sacs envers Lemaire, hebdomadier de Saint-Hilaire, de 3 l. 15 s. envers la cure de Saint-Pierre l'Hospitalier, et de 3 l. 15 s. envers la cure de Notre-Dame de la Chandelière, et par un petit logis sis rue de l'Engin tenu à 6d. De cens envers le chapitre et à une rente de 15 s. envers les chapelains et bacheliers (16 mars 1738) (1 pièce papier). Rente due par Imbert : Compte fait par le curé de Lusignan, administrateur de l'hospice, des arrérages dus depuis l'année 1709 d'une rente de 50 l. due par Imbert de l'Ermitage et sa sœur (10 mars 1738) (2 pièces papier) (1738-1750). Rente de seigle sur la Sauvagère : Note relative à la rente de 10 boisseaux de seigle sur la Sauvagère (Rouillé) acquise par les administrateurs de l'hôpital le 15 décembre 1739 au sujet du paiement de l'impôt du vingtième par les possesseurs de ce domaine qu'ils peuvent faire diminuer d'autant (1739) (1 pièce papier). Rente sur les terres de Guron due au curé de Payré, en particulier : Transaction entre Louis Alexandre François, chevalier, marquis et seigneur de Castellane, d'Avançon, la Baronnière, Guron et autres lieux, et Jean Venault, curé de Payré (10 mars 1742) (3 pièces papier) (1742-1745). Rente sur la famille Naud : Testament d'Annie Naud femme de Martial de Marelon ou Mardon de Mazenty d'Araddour-sur-Vayre en faveur de son mari et de Marie Nau sa sœur veuve de Léonard Boutesleix de Vollondat, et par lequel elle remet en outre à l'hôpital de Lusignan la moitié de la rente de 6 l. 15s. Qu'il lui doit afin de faire dire annuellement 3 messes pour elle (10 décembre 1743) (1 pièce papier). Rente sur la veuve Laurand : Cession faite aux administrateurs de l'Hôtel-Dieu pour être admise au nombre des pauvres par Élisabeth Giré, veuve de François Laurand, cordonnier, d'une somme de 168 l. que lui doit son fils François Laurand, remboursable dans 7 ans, et de son mobilier (6 avril 1774) (1 pièce parchemin, 9 pièces papier) (1774-1810). Rente sur une pièce de terre à Enjambes : Arrentement par les administrateurs de l'hôpital à Pierre Olivier Fraigneau, notaire royal, à la rente seconde de 16 l. d'une boisselée de terre au faubourg d'Enjambes (5 octobre 1745) (1 pièce papier). Rente sur la cure de Nesdes (8), en particulier : Défaut donné en la sénéchaussée de Poitou à la requête de Gaspard Bourdain curé de Nesdes contre les débiteurs d'une rente de 13 l. 5 s. due à la cure sur la métairie de la Ville-Nouvelle paroisse de Benassais (25 mars 1747) ; - Reconnaissance de cette rente donnée à Jean Huault curé de Nesdes par Jean Favreau marchand chapelier (25 novembre 1765) (1 pièce parchemin, 9 pièces papier) (1747-1765). Rente sur la tannerie de la basse ville : Arrentement par Gabriel Geoffroy, gardes des bois du roi, veuf de Catherine Pignet, administrateur de son fils Jean Gabriel Geoffroy, à François Darriau, marchand tanneur, d'une tannerie à Lusignan, paroisse de Pranzay, à la rente seconde de 20 l. ; signification des mêmes aux Hospitalières de Lusignan d'avoir à quitter les lieux arrentés (1 février 1751) (1 pièce papier). Rente sur Lauzon : Constitution par François-Joseph de Lauzon d'une rente de 30 l., au capital de 600 l., léguée aux pauvres par Mme de Béruges (22 mai 1754) (1 pièce papier). Rente venant de l'Union chrétienne de Poitiers : Arrêt du Grand Conseil autorisant Jean Charles de Coucy, aumônier de la Reine et abbé commendataire d'Igny, à emprunter les sommes nécessaires pour les réparations à faire à ladite abbaye d'Igny et à ses dépendances parmi lesquelles est un emprunt de 3000 l. fait aux religieuses de l'Union chrétienne de Poitiers avec constitution d'une rente de 150 l. (30 mai 1783) (1 pièce papier). Rente due par la fille Bert de la Lande : Cession faite à l'hôpital par Louise Guiochon veuve de René Dubrais, maître chirurgien à Ché (paroisse de Lathus), d'une rente de 30 l. faisant partie de celle de 150 l. qui lui est due par Favier, veuve de François Bert de la Lande, et autres, pour être tenue quitte envers ledit hôpital de la somme de 508 l. 11 s., restant du prix de ferme de l'aumônerie de Ché, qu'ils ont gardée 14 ans (12 avril 1756) (1 pièce papier). Rente sur Lauzon de la Poupardière : Procuration des administrateurs et des religieuses de l'hôpital de Lusignan pour recevoir le capital d'une rente de 150 l. qui leur était due par François-Joseph de Lauzon, chevalier, seigneur de la Poupardière, chevalier de Saint-Louis, et François-Anne de Lauzon de la Poupardière, chanoine de Saint-Hilaire le Grand, son frère (3 mars 1754) (1 pièce papier). Rente sur l'aumônerie de la Font-de-Cé : Arrentement par les administrateurs de l'hôpital à Henri Brocquerau, marchand boulanger et Louise Doublet, sa femme, à la rente noble, féodale et foncière, annuelle et perpétuelle de 89 l. des bâtiments dépendant de l'aumônerie de la Font-de-Cé avec la grange appelée vulgairement la Chapelle, le pré de Lamourette dans lequel il y a une fontaine, tenant au chemin de la Font-de-Cé au Vieux Pin, aux maisons dites la Teinturerie et le Cygne (13 septembre 1756) (1 pièce papier). Rente sur le four banal de la Font-de-Cé : Prise de possession de la maison du four banal de la Font-de-Cé par les administrateurs de l'hôpital pour non paiement des arrérages de la rente de 60 l. due sur le four (24 juin 1764) (1 pièce papier).