Au passage, Agénor Arlot raconte un conte drôlatique qu'il ne tient pas de sa grand-mère.

L'enregistrement démarre par l'évocation par Agénor Arlot d'une personne non identifiée.

Il évoque rapidement son passage par l'école, le début de ses travaux à la ferme de son père. Il évoque ensuite son service militaire (classe 1925), y compris l'année passée en Syrie (16e régiment de tirailleurs). Il enchaîne sur son passage dans le maquis Marcel, autour de Civray, et sa participation aux combats de la Libération à Saint-Nazaire. Il évoque aussi son séjour à Troyes en tant que cantonnier (?) durant l'Occupation, période pendant laquelle il a fréquenté des prostituées. Il évoque ensuite la perte de sa mère lorsqu'il avait 17 ans et le conflit qui s'en est suivi avec son père : il considère que celui-ci l'a spolié et l'a conduit à devenir domestique agricole. Il évoque son mariage en 1928 et ses trois enfants (dont une fille décédée en bas âge). Il mentionne son divorce en 1937 et le fait qu'il ne se soit jamais remarié ensuite. Il évoque plus précisément son épouse Marie Puissesseau, qu'il avait connue à Joussé.

Il interprète ensuite (plusieurs fois de suite) les paroles que l'on chantait sur cet air : Des boudins fricassés.

Le son est un peu dégradé dans ce passage.

La fin du conte est suivie par un échange entre Agénor Arlot et Michel Valière sur fond d'ambiance sonore de la veillée. Michel Valière récapitule au micro les circonstances de cette veillée (date et lieu).

Les trois couplets chantés sont précédés et suivis de l'air interprété au violon par Agénor Arlot.